The Dragonfly of Chicoutimi [1993]
Éditions Les Herbes rouges, Québec: 2005) 11.95$
Traduction(s)
Résumé À la suite d'un traumatisme, un homme perd l'usage de sa langue maternelle : le français. Aliéné, il fait le récit de sa vie dans un anglais fabriqué de toutes pièces. | On the heels of a severe trauma, a man loses access to his mother tongue. After a strange dream, he regains his speech, but can express himself only in English.
A francophone play written in English with a French syntax, The Dragonfly of Chicoutimi is a gripping solo piece on identity politics and alienation. Extrait « GASTON TALBOT : […] I have white hair | all those wrinkles around my eyes my lips my neck | my skin is yellow | my hands shake my legs hurt me | I have bad breath | which indicates stomach troubles | I can't eat what I want and so on and so on | my body is a total ruin » Revue de presse « Quatre-vingt minutes de "magie" qui se sont terminées sur une ovation bien méritée. » Pierre Karsch, L'Express de Toronto, l'hebdomadaire francophone, février 2002
« Larry Tremblay a écrit une pièce […] avec des mots anglais mais à l'intérieur d'une structure francophone et qui s'adresse aux francophones. […] Il a découvert et exploré un nouveau chemin de la vie des Québécois : celui du traumatisme de l'autre langue. » Jean Beaunoyer, La Presse, 30 mai 1995.
« Construite au fil de digressions, la pièce est douée d'une qualité onirique qui déjoue l'apparente simplicité du propos et de la langue. Baignant dans la nostalgie des choses éteintes, The Dragonfly évoque le cauchemar des peuples minoritaires complexés par leur petitesse, face à la puissance d'autrui. Et, au premier chef, le nôtre...» Marie Labrecque, Voir, du 18 au 22 avril 1996.
« Le texte de Larry Tremblay est d'une précision et d'une sensibilité démoniaques. » Raymond Bernatchez, La Presse, 20 mars 1997.
« The Dragonfly of Chicoutimi : une bombe […]. Remarquablement construit, ciselé, le récit est une spirale marquée de répétitions, d'avancées et de dénégations. » Jean St-Hilaire, Le Soleil, 29 mai 1995. À propos de(s) l'auteur(s)
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