Les trains ou J'entends grincer le vent sur les échangeurs d'air [1998]
Traduction(s)
Résumé C'est l'anniversaire d'Elefpé, qui bien sûr est en retard - « sinon i aurait manqué d'intégrité envers lui-même » - au rendez-vous avec ses amies. Emcie, alias Marie-Claude, qui déteste son prénom, porte le lourd fardeau du suicide de son père. Elvisse, qui souffre de ne pas avoir de problèmes dans sa vie trop ordinaire, aura ce soir une preuve éclatante de son existence. Extrait « EMCIE : Des fois, j'aimerais ça être une plante. Avoir rien à faire d'autre qu'être une plante. Juste être là. Près d'une fenêtre mettons. Avoir rien à faire d'autre que de pogner la lumière. Mon seul but dans vie ça serait d'avoir assez d'eau. Avoir assez d'eau pas nécessairement pour grandir, juste assez d'eau pour continuer à être une plante. Me semble que j'en aurais ben en masse. » Revue de presse « Un texte d’Olivier Choinière très efficace et non complaisant » Sonia Sarfati, La Presse, 22 avril 1999.&r
« Drame existentiel qui met en scène trois amis d’enfance déchirés entre leur inaction et leur désir de bouger. […] Le ton est volontiers grinçant et les personnages, tout à fait lucides. » Patricia Belzil, Voir, du 15 au 21 avril 1999. À propos de(s) l'auteur(s)
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