À travers l'histoire de Jean-Eudore Prémont, jeune Canadien condamné à mort pour le meurtre d'une fille dans un cabaret, ce second volet d'une trilogie commencée avec La longue marche dans les avents montre les forces politiques en présence à la veille du soulèvement des Patriotes, en 1837.

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« LA MÈRE MAQUERELLE : ...c'est né dans des familles de sans-terre, ces petites-là, leu' pères sont journaliers, ça avait jamais d'autre chose dans leu's assiettes que des patates... Eh! ben crèyez-le crèyez-le pas, Félicie, elle est patriote rouge! Assez qu'elle pis sa sœur font des simagrées pour pas aller avec les Anglais! »