Veille [1979 - 1980]
Éditions des Femmes, Paris, 1982 ; 19.75$
Résumé Exorcisme doux de la solitude menaçante. Une voix murmure ici sa musique sous la forme de soliloques poétiques comme autant de lettres écrites par une personne souffrante et adressées à l'autre à travers l'espace, avec tout l'espoir du monde. Extrait « [VEILLE] : Sais-tu qu'en Chine l'on poste les lettres d'amour en les lançant dans un canal d'eau claire […] J'ai la mère vaste étale j'ai la mère ronde instaurée installée. | Si je dis qu'elle souffre je mens et si je dis qu'elle ne souffre pas je mens aussi. Alors j'invente qu'elle a les yeux maquillés longs et noirs comme jonque chinoise moi qui ne me maquille pas. » Revue de presse « Veille est certainement un des plus beaux livres de la révélation de l’instant comme éternité de soi à l’autre. Anne-Marie Alonzo nous y donne une forte leçon de patience et de recommencement, de présence et de création.» Jean Royer, Le Devoir, 11 juin 1983. À propos de(s) l'auteur(s)
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