Trick or treat [1997]
(avec un texte radiophonique, L'âme est une fiction nécessaire et une conférence de l'auteur, dans Il n'y a que l'amour, Éditions Prise de parole, Sudbury, 1999)
Traduction(s)
Résumé Un soir d'Halloween, assez tard : il fait presque nuit, et le « vieux » Ben est seul dans le petit local de Bereczky et Fils, atelier de réparation d'appareils électroniques et de téléviseurs. Surviennent Mike, un adolescent, et Cracked, une connaissance de Ben. Commence alors une danse de mots narquois, implorants, décisifs, issus de la chair de ceux qui les crachent. Extrait « BEN : On s'est pas très bien compris, d'abord. M'a te l'expliquer d'une autre façon. […] C'est pas yenque un gun qu'un gars achète quand un gars achète un gun d'un gars comme moé. […] Y'a des affaires qui vont avec. Toutes sortes d'affaires… » Revue de presse « Trick or treat? La pièce de Jean Marc Dalpé nous réserve […] des tours à sa façon, et des gâteries savoureuses. Une véritable friandise, pour qui aime les saveurs corsées. » Marie Labrecque, Voir, le 8 avril 1999.&r
« Violence, fragilité et trahison. Les ingrédients de la nouvelle pièce de Jean Marc Dalpé sont les mêmes que ceux des cérémonials de Genet. Mais Dalpé n'ayant pas l'ambition d'un tel fresquiste du mal, il les assaisonne à sa façon, brutale, rapide, efficace et sans manière, dans un style qui vous cogne comme un alcool vite bu. Ce théâtre se boit cul sec. » Robert Lévesque, Ici, le 8 avril 1999.&r
« Les personnages créés par l'auteur Jean Marc Dalpé sont irrésistibles. » Solange Lévesque, Le Devoir, le 3 mars 2001.&r
« Un thriller percutant et cru […] » Michel Phaneuf, Le Canada Français, le 29 mars 2000.&r
« Ce monde a beau être petit, ordinaire, étriqué, il s'avère impitoyable. Engrenage aussi bien huilé que l'est le suspense dramatique créé par l'auteur. » Hervé Guay, Le Devoir, le 11 mars 2000. À propos de(s) l'auteur(s)
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