Des fraises en janvier (titre épuisé : disponible pour le prêt) [1999]
Partie du recueil: Théâtre de Évelyne de la Chenelière ( Fides,2003) Titre épuisé. Disponible pour le prêt (Traductions en anglais pour l’Écosse par Rona Munro sous le titre: (Strawberries in January), en néerlandais par Hedwig Cooremans
sous le titre: (Aardbei in Januari)
et en hongrois par Anna Lakos sous le titre:(Eper januárban) aussi disponibles)
Traduction(s)
Résumé Chassé-croisé amoureux ou le jeu de la vérité et du mensonge : Sophie et François se plaisent mais refusent de s'engager. Alors que Léa, venue de la campagne, cherche à retrouver dans la ville son amie Sophie, François présente cette dernière à son ami Robert, qui, lui, finira par partir avec Léa... Mais entre la réalité et la fiction du scénario que François est en train d'écrire, comment démêler le vrai du faux? Extrait « SOPHIE : ...je ne vois pas pourquoi, si on aime faire les courses ensemble, faire le ménage ensemble, prendre un petit déjeuner ensemble, regarder des vieux films ensemble, je ne vois vraiment pas pourquoi on n'aimerait pas faire l'amour ensemble, chose plus excitante, il me semble, que les courses, le ménage et les vieux films alors je te propose qu'on se marie au printemps. » Revue de presse « Véritablement charmante cette pièce […] Le genre de pièce dont on ne sort pas transformé, bouleversé ou en proie à une remise en question existentielle, mais plutôt charmé et surtout heureux. Cela ne vaut-il pas son pesant d’or? » Sophie Pouliot, Le Devoir, 31 janvier 2002.&r
« La jeune […] auteure de Culpa a la plume vive dans cette fantaisie joliment troussée, au ton assez original, tendrement humoristique, où émerge une certaine poésie des petites choses et des relations humaines. » Marie Labrecque, Voir, 31 janvier au 6 février 2002.&r
« Le texte d’Evelyne de la Chenelière est rempli de trouvailles, de réflexions, de raccourcis heureux. » Marie-Christine Blais, LaPresse, 28 janvier 2002.&r
« Le texte d’Evelyne de la Chenelière est une réflexion, voire presque une apologie du mensonge. Dans la pièce Des fraises en janvier, tous les personnages disent à des degrés divers des faussetés à propos d’eux-mêmes. » Amy Barrat, Mirror, du 31 janvier au 6 février 2002. À propos de(s) l'auteur(s)
|