Le monologue de Il dans Le cru et le cuit [1995]
(in Écritures pour le théâtre. Tome III, Dramaturges Éditeurs, 2003)
Résumé Dans une soirée mondaine, chaque participant est invité par la maîtresse de maison à produire quelque chose de son cru. Voici « Il », le plus vieux, qui se lance dans un monologue sur l'autre, la vie, le bonheur, avec la volonté de se jeter à l'eau tout seul. Extrait « IL : […] Il croyait aussi que chacun est responsable des formes qu'il évoque ou de celles qu'il prend, de son allure, de sa gueule et c'est pourquoi il en voulait aux vieux de sa famille d'avoir laissé leurs épaules et leurs dos se courber sous la démission. […] Dernièrement, poursuit-il, dans une assemblée de pseudos-libertins qui mettaient en balance les mérites respectifs des seins, des cuisses et des fesses, je fis quelqu'impression, me semble-t-il, lorsque sommé de m'exprimer sur mes préférences je répondis : " les yeux et la noune. " » À propos de(s) l'auteur(s)
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