La couturière [2004]
(Lanctôt Éditeur, Montréal: 2004) 10.95$
Traduction(s)
Résumé Voici la toute simple, toute belle, tout attendrissante histoire d'Ariane, une peintre qui ouvre les portes de l'atelier de sa grand-mère Blanche, une couturière. Au fil de cette visite, Ariane raconte le génie des grands-mères qui confectionnaient des chefs-d'œuvre avec des bouts de ficelle… Riche de ce legs, Ariane sait que tout naît du vide, que tout commence par le blanc… En sillonnant l'atelier, le public participe à un parcours théâtral qui incite à la rencontre entre les arts visuels et les générations. Extrait « ARIANE : Moi, si je pouvais réparer le monde, je commencerais pas réparer ma grand-mère. / Blanche apparaît derrière le fauteuil, elle caresse le visage d'Ariane de sa main gantée, puis elle la couvre de sa courtepointe. / J'userais mes aiguilles à réparer les gens, les animaux, les paysages. / Blanche disparaît avec le cerceau de broderie. / Il y a des trous partout : des trous noirs, des trous de mémoire, des trous béants laissés par la guerre. » Revue de presse « Un tissu serré d’émotions. […] L’émotion. L’émotion pure, brute, intense. […] Car pour vous et moi, les adultes, le théâtre pour les jeunes publics, on le sait, c’est d’abord gentil et divertissant... Eh bien, voilà l’occasion de vous détromper. » Michel Bélair, Le Devoir, . À propos de(s) l'auteur(s)
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