Ce qui meurt en dernier [2007]
(Leméac Éditeur / Actes-Sud Papiers, 2010) 11,95$
Résumé Londres. Seule, par un soir brumeux d'octobre 1888, une femme lit une nouvelle littéraire inspirée d'un fait divers, le récit de la rencontre entre une comtesse et son tueur. Il est vrai que, depuis peu, la police enquête sur un mystérieux Jack l'Éventreur dont la hantise pousse les Londoniennes à se barricader le soir. La lectrice constate d'étranges ressemblances entre elle et l'héroïne du récit, une certaine Martha. Apparence physique, odeurs, analogie des décors chez l'une et chez l'autre. Soudain, le bruit d'une voiture qui ralentit puis s'arrête, juste devant l'immeuble. Des pas dans l'escalier. Une visite, de celles qu'on redoute et dont on rêve à la fois. À condition que ça demeure de la fiction... Extrait MARTHA VON GESCHWITZ à Jack l'Éventreur Revue de presse « Avant d’assister à la première de Ce qui meurt en dernier à l’Espace Go, je ne m’étais pas rendu compte que le théâtre de Normand Chaurette m’avait manqué. Dès les premières minutes de sa nouvelle pièce cependant, l’élégance de son écriture, son humour aussi, sa façon de surenchérir sur Londres et de rendre cette métropole encore plus sombre, pluvieuse et mystérieuse qu’elle ne l’est déjà me l’ont fait comprendre. L’auteur du Passage de l’Indiana est un dramaturge dont on s’ennuie parce qu’il nous emmène là où aucun autre de ses collègues n’a envie de nous entraîner: à la croisée du vrai et du faux, de la littérature et du mythe. » Hervé Guay, Le Devoir, 21 janvier 2008 À propos de(s) l'auteur(s)
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