Ginkgo et la jardinière [2008 - 2010]
Dramaturges Éditeurs, 2010 ; 21.95$ ; également disponible : Ginkgo y la jardinera, traduction espagnole par Humberto Pérez Mortera et Violeta Sarmiento Marabotto
Résumé La jardinière vit au pied d'un vieux ginkgo biloba. Avec humour et tendresse, elle prend soin des semis, des plantes et d'un oeuf orphelin qu'elle met en terre pour le faire pousser. Elle cultive des mots et des notes. Elle s'adresse au vent, à la lune et au soleil. Au fil des saisons, de petits événements surgissent…Cette fable poétique réinvente la relation entre les mots et la musique et livre un hymne à la vie. Extrait « LA JARDINIÈRE : As-tu une petite faim, Ginkgo? (…) Une salade de notes et de mots pour déjeuner, ça te dirait, mon vieux ? / Valse (contrebasse et flûte) / Hier j'ai semé des lettres, Ginkgo, et tu vois, il y a déjà des mots… oh ! des tout petits mots qui sortent de terre : Regarde, ici il y a ICI, et là, il y a LA. Oh ! Un DO maintenant. Un FA, là, sur le sol. » Revue de presse Troisième volet d’une série intitulée Les jardins d’enfants, Ginkgo et la jardinière est un conte d’une tendre poésie, qui rend hommage au cycle de la nature dans toute sa splendeur et sa simplicité. Les mots de Jasmine Dubé, comme une fructueuse récolte, jaillissent et pétillent de vie. (…) Le texte (…) est en totale symbiose avec la trame musicale de Hadi El Gammal, qui signe aussi la mise en scène. (…) une heureuse rencontre entre la musique et les mots (…). David Lefebvre, Critique, MonTheatre.qc.ca, 15 octobre 2010
Le texte de Jasmine Dubé est une petite merveille de poésie farcie de clins d’oeil et de jeux de mots irrésistibles. (...) Petits bonheurs (...) démarrait hier matin avec une production Québec-Belgique qui fait sentir à quel point Jasmine Dubé (elle joue elle-même son texte) baigne dans son élément quand elle s’adresse aux enfants de quatre à six ans. Ici, en jardinière, elle raconte tout simplement les saisons de son jardin accompagnée de deux musiciens (flûte et violoncelle). Michel Bélair, Le Devoir, 8 mai 2010
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