Récit d'une chaussure [2018]
Résumé "On dit que pour savoir ce qu'une personne ressent vraiment à l'intérieur, il faut se mettre dans ses chaussures. Marie-Ève et Elie ont parcouru la ville à la recherche d’histoires vécues par les chaussures et par les personnes qui les portent. Sous chaque chaussure rencontrée se cachaient des histoires. Marie-Ève et Elie ont écouté les histoires drôles, les histoires tristes, les histoires de voyages, les histoires d’immigration, les histoires vécues, les histoires inventées, les histoires d’espoir et les histoires de résilience inscrites sous les semelles des chaussures.
Dans Récit d’une chaussure, Marie-Ève et Elie nous racontent ces histoires. En cours de route, illes trouveront peut-être chaussure à leur pied." Extrait «MARIE-EVE : On dit que pour savoir ce qu’une personne ressent vraiment à l’intérieur, il faut se mettre dans ses chaussures./ ELIE : Marie-Ève et moi avons eu envie d’écouter les chaussures et les secrets qu’elles connaissent./ MARIE-EVE : Je m’appelle Marie-Ève et j’adore porter des bottines./ ELIE : Je m’appelle Elie et mes chaussures préférées sont celles de course./ MARIE-EVE : J’aime leurs lourdes semelles./ ELIE : J’aime lacer mes chaussures très vite./ MARIE-EVE : Quand je porte mes bottines, je me sens solide partout où je me trouve./ ELIE : Quand je porte mes chaussures de course, je peux aller où je veux sans me fatiguer./ MARIE-EVE : Cette année, nous avons beaucoup voyagé sans même lever le petit orteil. Nous avons gravi des montagnes enneigées, traversé des déserts, sauté dans des flaques d’eau, dansé dans l’herbe mouillée et marché à la campagne pieds nus./ ELIE : Cette année nous avons sillonné la ville à la recherche d’histoires vécues par les chaussures et par les personnes qui les portent.» Revue de presse « Dans un tout autre esprit, mais creusant la même quête de sens, Récit d’une chaussure plonge les enfants dans un univers métaphorique. Quelques boîtes empilées servent de décor dans lequel les comédien.nes Elie Marchand et Marie-Ève Lefebvre dévoilent le passé de certaines personnes à travers leurs chaussures. Vient une paire toute neuve qui ne semble pas avoir servi. Ce sont ceux de la poétesse Anne-Marie Alonzo qui, à la suite d’un accident de voiture, devra continuer sa route sur un fauteuil roulant. L’écriture lui permettra de voyager à nouveau très loin. Quelques extraits de poèmes convoquant la marche et l’immobilité seront lus et offerts aux enfants dans une mise en scène évocatrice. Les comédiennes feront littéralement marcher les bandes de papier sur lesquelles se trouvent les mots d’Alonzo. Magnifique moment.» Quand le festival Petits Bonheurs investit la beauté du monde, Marie Fradette, 14 mai 2018, Le Devoir À propos de(s) l'auteur(s)
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