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L'Ogrelet [1996] (Lanctôt Éditeur, Montréal: 1997) 14.50$
Première lecture Ce texte a été présenté en lecture publique par le CEAD, le 5 décembre 1996. Création Coproduction du Carrousel, de l'Espace Malraux/Scène nationale de Chambéry et de la Savoie, du Théâtre/Scène nationale de Narbonne, et du Théâtre du Vieux-Terrebonne, créée en France, le 6 octobre 1997 Nombre de personnages 2 Personnage(s), 1 Femme(s), 1 Homme(s), 2 Acteur(s) | |
Traduction(s) - Traduit en russe par Yvan Nikitine sous le titre de Lioudaidik (traduction de Yvan Nikitine) [1999]
- Traduit en anglais par Shelley Tepperman sous le titre de The Ogreling [1999]
- Le Carrousel, 3 juin 1998
- Traduit en italien par Marina Allegri, Alberto Branca sous le titre de L'orchetto [1998]
- Le Carrousel en coproduction avec il Teatro delle Briciole, à Parme, Italie, 18 novembre 1998
- Traduit en espagnol par Cecilia Iris Fasola sous le titre de El Ogrito (en espagnol pour l'Espagne) [1999]
- Le Carrousel, Madrid, Espagne, 17 mars 2000
- Traduit en espagnol par Cecilia Iris Fasola sous le titre de El Ogrito (en espagnol pour l'Amérique latine) [1999]
- Traduit en portugais par Deolindo. L. Pessoa sous le titre de O Ogrezinho [2001]
- Teatro Das Beiras, Coimbra, Portugal, avril 2001
- Traduit en maya par Feliciano Sánchez Chan sous le titre de Chan Wa'apàach' [2003]
- Traduit en allemand par Alma Bolivar, Darinka Ezeta sous le titre de Der kleine Menschenfresser [2005]
- Traduit en grec par Xènia Kaloyèropoulou sous le titre de To Drakou'di [2008]
- Porta Theatre, (Athènes), mai 2008
- Traduit en portugais par Jorge Bastos sous le titre de Ogroleto [2009]
- Traduit en galicien par Juan Carlos Riobó Pose sous le titre de O ogrocho [2009]
- Traduit en russe par Elizaveta Efimova sous le titre de Lioudaidik [2006]
- Traduit en polonais par Ewa Umińska sous le titre de Olbrzymek
Résumé L'Ogrelet vit seul avec sa mère dans la forêt. Mais du jour où il commence à fréquenter l'école et les autres enfants, apparaissent sa différence et sa réalité de fils d'ogre. Il devra subir trois épreuves pour transcender son hérédité et apprendre à vivre.
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- Décor: Une maison, dans le bois, comme on les imagine dans les contes, fruste, inconfortable. La mère et le fils y vivent.
Une école de village dont on parle souvent. Elle peut être au loin dans une forme miniaturisée. Dans cette école, des ombres ou des sons.
Le chemin entre les deux, toujours le même à l'aller et au retour.
Une cabane de chasseurs abandonnée et la forêt comme un étau, tout autour.
- Caractéristiques des personnages: L'OGRELET, un garçon de six ans, trop grand pour son âge.
LA MÈRE DE L'OGRELET, une femme dans la quarantaine.
Extrait « OGRELET : Un homme peut avoir envie de manger des enfants? / MÈRE DE L'OGRELET : Un ogre, oui. C'est ce qu'on dit et j'ai des raisons de le croire. Quand j'ai rencontré ton père, je ne savais rien. Je ne voyais que le bleu de ses yeux, sa main rassurante qui prenait la mienne pour traverser la rivière et les roses qu'il m'offrait au milieu de l'hiver, ce que personne d'autre ne savait faire. » Revue de presse « Vingtième pièce d'une auteure maintes fois primée, ce texte propose un univers touffu, dense comme la forêt, d'où surgissent des bruits inquiétants et des ombres insaisissables, reflets de sentiments profonds avec lesquels, qu'on le veuille ou non, chacun de nous, petit ou grand, doit composer. » Carole Tremblay, Le Devoir, 13 mai 2000.&r
« Captivante par son texte tout en contraste dans la douceur et dans l'horreur, cet Ogrelet de Suzanne Lebeau s'est fixé dans ma mémoire comme une nouvelle fantastique d'Edgar Allan Poe. […] texte lent, tout en nuances et envoûtant. » Guylaine Massoutre, Cahiers de théâtre JEU, n°90, mars 1999.&r
« Le dialogue sur le désir entre la mère et son fils (Ogrelet) est magnifique et des enseignants voudront l'investir en pédagogie du projet.», Le Devoir, 20 avril 1999.&r
« Dans un langage poétique cherchant à traduire la portée symbolique des choix que nos propres enfants sont forcés d'effectuer à cet âge, Suzanne Lebeau a écrit ici un conte de fées. Un conte de fées noir sur fond de conflit entre le Bien et le Mal. » Michel Bélair, Le Devoir, 26 octobre 1998. À propos de(s) l'auteur(s)
(Photo : François-Xavier Gaudreault)
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Suzanne Lebeau se destine d’abord à une carrière d’actrice : de 1966 à 1973, elle joue Molière, Ionesco et Stoppard tout en poursuivant sa formation aux côtés de Jacques Crête et de Gilles Maheu à Montréal, puis auprès...
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