Simon a toujours aimé danser [2006]
Publié dans le recueil Danser a capella, Les Éditions de Ta Mère, Montréal, 2012 ; 15.00$ - traduction en espagnol par Andrea Galvez, sous le titre A Simón siempre le gustó bailar, également disponible
Résumé Simon n'a pas toujours eu qu'une voix nasillarde. L'autre, sa belle voix chantée, il l'a perdue à douze ans, au beau milieu de son exécution de « Si Tu entends », quand elle s'est étranglée devant toute l'assemblée. Si cet événement a suffi à lui faire perdre sa foi en Dieu, il l'a aussi convaincu de s'en remettre à son deuxième don divin : la danse. Mais il n'est pas facile pour son entourage d'accepter la différence. Extrait « SIMON : C'est juste que je pensais que mon corps vieillirait entre tes doigts. Je pensais avoir droit à cette vie inédite. C'est juste que j'ai le regard d'un soldat qui n'a jamais tenu d'armes. Un soldat aux doigts tranchés méticuleusement. C'est juste que demain, je ferai un génocide avec les vêtements superbes que tu as laissés chez moi. » Revue de presse « Autant de grâce, de beauté et d’émotion que le musical Billy Elliot. Simon Boulerice nous entraîne dès la première scène dans son univers enchanté. Aussi à l’aise dans la danse que dans le burlesque, il est aussi capable de nous faire pleurer. Cet artiste de 27 ans, déjà très productif, semble exceller dans tout ce qu’il touche. C’est mon premier coup de cœur de la décennie. Et un gros! » Luc Boulanger, Le Devoir &r
« J’ai hâte de voir sa prochaine pièce. Je souhaite à Boulerice d’avoir le même destin que Mouawad. »Georges Nicholson, Je l’ai vu à la radio, SRC &r
« Drôle et terriblement émouvant. » Daphné Angiolini, Voir
Raymond Bertin, JEU, revue de théâtre 135, page 149
« Entre le hockey et la danse, entre joie et tristesse, entre candeur et crudité, c’est ce petit peu de respect que l’enfant revendique; et c’est le biais par lequel le créatif Simon Boulerice parvient à nous toucher. » À propos de(s) l'auteur(s)
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