Les vaches de nuit [1978 - 1979]
(in Triptyque lesbien, Éditions de la Pleine Lune, 1980, épuisé)
Traduction(s)
Résumé Dans cette pièce, « une mère-vache, mammifère mythique,
entreprend l'ultime voyage féminin, la recherche illuminée de la vérité sur ses origines. C'est un texte visionnaire qui célèbre la résurrection spirituelle des femmes ». (Tiré de la postface que signe Gloria Orenstein.) Extrait « [LA COMÉDIENNE] : Ma mère est une vache, une race d'abondance. Ma mère est une bête de rente, un capital fixe que l'on a intérêt à entretenir aussi longtemmps que dure sa régularité. » Revue de presse « L'écriture de Jovette Marchessault nous emporte dans la démesure d'un grand souffle épique et fabuleux. Grâce à son bestiaire mythique, hors de l'espace et du temps, nous approchons la source des énergies vitales, que l'auteur associe au monde féminin. » Thérèse Marois, Cahiers de théâtre Jeu, n°20, 1981.3. À propos de(s) l'auteur(s)
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