La bonne femme [1995]
(Leméac Éditeur, MOntréal: 1997) 10.95$
Résumé En compagnie de son vieil ami, l'éléphant Lélé, la Bonne Femme, à la fois bourrue et attachante, s'arrête pour la nuit en bordure d'une forêt. Fée des temps modernes à l'imagination débordante, elle fait à manger, sauve un enfant des mains d'une sorcière, tout en se contant des histoires. Extrait « LA BONNE FEMME: Chaque fois qu'un enfant naît, il y a une petite lumière qui s'allume. Et moi, chaque fois que je vois le ciel étoilé, je me sens moins seule. Comme si des milliers d'enfants allumaient une veilleuse pour moi, pour m'aider à traverser la nuit. » Revue de presse « …L’histoire coule avec poésie, en écho intime au texte où fleurit la métamorphose. On s’émeut sans tiquer de ce qu’une défense d’éléphant tienne lieu de lune, à un chapeau de marmite, des pinces à cheveux d’oiseaux ou les pleurs de notre pachyderme de bouillon de soupe! Le texte répercute tout simplement le goût des petits (…) et des moins petits (…) pour l’invention surréaliste. » Jean St-Hilaire, Le Soleil, 12 mars 1997.&r
« La bonne femme a d’ailleurs été créée dans le cadre d’une exploration qui a mis à contribution toute l’équipe, de bout en bout. La gestation du spectacle s’est étendue sur neuf mois. Contrairement à l’approche usuelle, Mme Dubé n’a écrit son texte qu’en cours de création. "On est parti d’un poème et d’un tableau peint par une amie et on s’est influencé les uns les autres, raconte-t-elle. (...) J’aime beaucoup cette démarche où l’espace vide de la scène remplace la page blanche de l’écrivain." » Jean-St-Hilaire, Le Soleil, 8 mars 1997.&r
« Précisons que le texte de La bonne femme fut écrit en même temps que s’élaborait la scénographie du spectacle. En prenant possession de ce décor-univers, Jasmine Dubé nous a offert un texte admirable qui donne sa pleine mesure à l’errance de l’imaginaire et du verbe. » Diane Godin, Jeu, Mars, 1996.&r
« Jasmine Dubé livre ici une performance remarquable. Son texte (…) résultat d’une expérience unique en ce qu’il s’est élaboré en même temps que la scénographie, l’éclairage et tout le reste du spectacle (…) est une sorte d’éclatement perpétuel. Tout est possible sur une scène de théâtre et le texte de Jasmine Dubé est certainement l’élément clé qui permet toutes les dérives dans l’imaginaire. » Michel Bélair, Le Devoir, 16 octobre 1995. À propos de(s) l'auteur(s)
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