Le bain [1997]
(Dramaturges Éditeurs, Montréal: 2016) 11,95$ nouvelle édition
Traduction(s) Résumé Au retour d'une dure journée de travail au cours de laquelle elle a éteint douze feux, la pompière Madame Pin-Pon, brûlée de fatigue, un incendie faisant rage dans son estomac, retrouve son petit cochon préféré. Pour qui c'est l'heure du bain. Après, il ira dormir, bon gré mal gré, et Pin-Pon se coulera à son tour dans son bain. Extrait « COCHON : Pin-Pon-on-on? / PIN-PON : Quoi-a-a? / COCHON : Le petit cochon que tu as sauvé aujourd'hui, là… / PIN-PON : Mmmm? / COCHON : Tu l'aimes pas autant que moi, hein? / PIN-PON : Non... [...] ...c'est toi que j'aime le plus plus plus, mon petit porcelet de porcelaine à qui je vais manger la bedaine. Au dodo, maintenant. / COCHON : C'est quoi un porcelet de porcelaine? / PIN-PON : C'est toi. / COCHON : C'est quoi, moi? / PIN-PON : Bonne nuit. » Revue de presse « Un écrin magnifique, pour un texte d’une parfaite justesse : Jasmine Dubé connaît et aime visiblement les enfants. L’intelligence et la finesse avec lesquelles elle aborde leurs inquiétudes et leurs joies, petites et grandes, en font foi. » Sonia Sarfati, La Presse, 22 février 1997.&r
« Riche de ses métaphores et d’une étonnante métamorphose, Le bain fait image avec intelligence et force. Il garantit surprise, divertissement et réflexion en douce aux tout-petits et petits (trois à sept ans). » Jean St-Hilaire, Le Soleil, 19 novembre 1997.&r
« Le texte et la mise en scène de Jasmine Dubé viennent donner des points de repère très solides auxquels les enfants peuvent facilement s’accrocher tout en faisant surgir d’intéressantes zones de mystère. […] Bref, l’histoire simple a beau cacher des réalités compliquées, il est difficile de trouver mieux pour initier un enfant au théâtre. » Michel Bélair, Le Devoir, 26 février 1997. À propos de(s) l'auteur(s)
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