Cheech ou les hommes de Chrysler sont en ville [2000]
(Dramaturges Éditeurs, 2003)
Traduction(s)
Résumé Les hommes de Chrysler sont en ville, mais le bureau de l'agence toute spéciale de Ron a été dévalisé durant la nuit et les photos des charmantes demoiselles ont disparu. Avec l'aide de Maxime, il tentera de refaire les photos durant la journée. La très populaire Jenny se prêtera volontiers au jeu de la séance de photos, mais la sulfureuse Stéphanie manquera à l'appel. Quant à Alexis, son voisin, il attend un téléphone dont on ne sait rien. Extrait « RON : La game est plus rough que prévu. J'aimerais ça que tu traînes ça sur toi... (Ron donne un revolver à Maxime.) / MAXIME : Tu veux que je traîne ça? (Le téléphone sonne.) RON : Câlisse... / MAXIME : Tu veux- / RON : Allô? / Voyons, fuck, estie... Un instant. (À Maxime.) Y'ont pris le pad. / MAXIME : Le pad... » Revue de presse « De l'auteur de Stampede, on s'attendait en effet à des personnages disjonctés, marginaux, mais tous attachants. On s'identifie totalement à leur misère, à leur solitude, à leur besoin d'amour, même si a priori tout nous en éloigne. Fascinant. » Anne-Marie Cloutier, La Presse, 18 janvier 2003.&r
« (…) l'intérêt de la seconde pièce de François Létourneau tient beaucoup à sa structure : un habile puzzle narratif, qui défie la chronicité en enchaînant, les tableaux nécessairement dans l'ordre, comme l'indique une horloge au-dessus de la scène. Un décalage horaire pour des personnages en décalage existentiel. »
Marie Labreque, Voir, 22 février 2003.&r À propos de(s) l'auteur(s)
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