Anaïs, dans la queue de la comète [1984 - 1985]
(Éditions de la Pleine Lune, 1985)
Traduction(s)
Résumé Cette pièce en douze tableaux raconte la quête d'identité d'une
femme d'une humanité, d'un talent et d'une beauté dont le vingtième siècle littéraire a peu d'exemples. Une femme qui n'avait qu'une patrie : l'art et les artistes. Auprès d'elle, ces comètes que furent Artaud, Henry Miller et sa femme June, Otto Rank et leurs doubles.
Vers la fin de la pièce, Anaïs Nin demande à son analyste
« Qui suis-je? » Et celle-ci répond : « Cela porte un très beau nom : Civilisation ». Extrait « ANAÏS : Dans leur univers, tout est blanc ou tout est noir, docteur… Alors que moi je dis que je suis Rouge et Fondamentale! Et c'est moi qui distille les liqueurs les plus fortes, les plus ardentes, les plus enivrantes, docteur! » Revue de presse « Texte remarquable de Jovette Marchessault. » Raymond Bernatchez, La Presse, 30 septembre 1985. À propos de(s) l'auteur(s)
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Mots clés
Antonin Artaud
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Colette Thomas
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correspondance
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féminisme
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Henry Miller
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intimité
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June Miller
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littérature
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Los Angeles
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mémoire
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poésie
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réflexion
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