Titanica, la robe des grands combats, Edmund C. Asher, Londres, 1968 [1998 - 2000]
(Leméac Éditeur, 2001) 12.95$
Traduction(s)
Résumé Sur un dock désaffecté du port de Londres, des punks, une œuvre d'art vivante et un couple de fantômes médiévaux se côtoient dans l'ombre des bacs à marchandises, à la recherche du corps d'un D.J. mort du sida, tandis qu'à Buckingham Palace, la reine d'Angleterre voit son étude de la botanique interrompue par l'arrivée des lettres enflammées d'un amant anonyme. Au cœur de ce tableau onirique débarque sur les quais un jeune juif venu des Amériques pour chercher une cause au nom de laquelle se battre. Quel sera son combat? Que contiennent ces mystérieux bacs empilés aux quatre coins du dock? Extrait « TITANICA : Titanica, sans cesse ce mot revenait dans sa bouche. Titanica! Titanica! Comme si à lui seul il avait été porteur de son grand rêve. Un visionnaire, Edmund! Alors qu'un vent immense de libération soufflait, il appréhendait le pire. " Notre liberté leur fera peur... Les bien-pensants vont rappliquer! Et il faudra être armés. " Cette nuit-là, nous sommes devenus amants. » Revue de presse « "À vouloir mener les combats des autres, on fait des guerres; à vouloir mener les siens, on fait sa vie." Une phrase lourde des diverses interprétations qu'il est possible de lui prêter, mais significative, à n'en pas douter, de la recherche du sens de la vie à laquelle se livre la jeunesse contemporaine. Cette phrase est de Sébastien Harrison, auteur qui pourrait bien devenir emblématique de sa génération par l'actualité de ses propos et la richesse de ses réflexions. Un nom à retenir. » Sophie Pouliot, Le Devoir, 1er novembre 2001. À propos de(s) l'auteur(s)
|
À L'AFFICHE DU CALENDRIER DES AUTEURS
|