Héliotropes [1993]
(VLB Éditeur: Montréal,1994) ITitre épuisé. Copie disponible pour le prêt.
Traduction(s)
Résumé Martha Jane dit:« je n'ai jamais rien choisi/ et je n'ai jamais rien voulu/ d'autre que la liberté/ quelle farce!/ je l'ai eue moi ma liberté/ et je suis bien empêtrée dedans! Est-ce qu'on choisit qui on est? Non. Extrait « LE COMPOSITEUR : voyez-vous | je pense tous les jours | à ces questions-là | de musique noire de musique blanche | et de musique pure | et de musique marchande | vous savez il y a | une idée religieuse de l'âme | l'esprit qui demeure | il, y a aussi une idée | profane oh profane et sacrée | à la fois | l'art qui demeure | et qui n'est pas l'idée d'une âme | personnelle qui survit | glorieusement au pauvre corps | mais l'idée d'une âme de partage » Revue de presse « À travers cette fable existentielle, Michel Garneau pose la question des dangers de la pétrification de l'individu dans ses préjugés ou dans ses blessures intimes, et il propose l'écoute des musiques intérieures d'êtres méprisés, marginalisés, mais qui portent en eux, l'air de rien, le désir d'une autre humanité, d'un à-venir autre. » Gilbert David, Le Devoir, 5 et 6 mars 1991. À propos de(s) l'auteur(s)
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Mots clés
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composition
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États-Unis
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Maple Leaf Rag
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musique
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piano
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prostitution
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racisme
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Scott Joplin
À L'AFFICHE DU CALENDRIER DES AUTEURS
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